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RAR poster affiche Election FDF 1965 1960 Vintage MR DEFi
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1771depuis 10 sept.. '24, 10:35
Description
Tres rare poster pour les elections de 1965. Original d'époque.
Objet de cusiosité ou de collection. Bel état. Histoire
Il fut créé le 11 mai 1964, en réaction à l'établissement des frontières linguistiques en Belgique en 1963, par André Lagasse, René Bourgeois, Paul Brien, Léon Defosset, Jean Hoffman, Marcel Hombert, Victor Laloux, Marcel Lengrand, Léopold Molle, Lucien Outers, Eugène Pauly, Marcel Thiry et Georges Avelange, treize personnes issues, d'une part, des différents mouvements wallons, d'autre part, du Rassemblement pour le Droit et la Liberté et du Bloc de la Liberté Linguistique 15. Le groupe de fondateurs qui s'élève contre la « tyrannie linguistique » se nomme originellement « Front démocratique des francophones de Bruxelles » puis en tant que parti Front démocratique des francophones16,17.
Association avec le RW (1964-1992)[modifier | modifier le code]Un logo du FDF.Pendant longtemps, le FDF collabore avec le Rassemblement wallon, un parti autonomiste wallon, avec lequel il forme un groupe parlementaire commun et présente des listes communes lors des élections européennes par exemple.
Plusieurs personnalités marquantes de la vie politique belge furent les fondateurs du FDF en 1964. Parmi ceux-ci, Paul Brien, André Lagasse, Lucien Outers ou Marcel Thiry ont contribué aux débats démocratiques fondateurs des grands changements institutionnels belges qui ont permis l'émancipation de Bruxelles et de la Wallonie comme régions à part entière au sein de la Belgique fédérale.
Dans la nuit du vendredi 11 septembre au samedi 12 septembre 1970, un militant FDF, Jacques Georgin, collait des affiches avec trois compagnons dans une artère de Laeken, lorsqu'il fut attaqué par une dizaine de militants du Vlaamse Militanten Orde. Il devait mourir quelques minutes plus tard, victime de la violence des coups reçus.
De 1977 à 1980 le FDF participe à deux gouvernements fédéraux dirigés par Leo Tindemans, puis Wilfried Martens.
Une personnalité remarquée du FDF fut Roger Nols, bourgmestre de Schaerbeek durant une vingtaine d’années, pendant lesquelles il a marqué la vie politique du pays, notamment au cours des années 1970, époque où il militait pour le FDF dans l’affaire des guichets de Schaerbeek[réf. souhaitée]. En 1982, les dérives politiques xénophobes de Roger Nols furent telles que Lucien Outers, alors président du FDF, dû constater qu'il ne pouvait plus appartenir à son parti.
Au sein de la famille libérale wallonne (1992-2011)[modifier | modifier le code]À la suite de l'introduction de nouvelles règles de financement public des partis politiques qui le font désormais dépendre de sa présence au Sénat, où il ne dispose que d'un seul siège et n'est pas sûr de le conserver, le FDF forme dès 1992 avec le Parti réformateur libéral une fédération, qui se traduit par des cartels électoraux à diverses élections régionales et législatives, ainsi que dans plusieurs communes (mais pas toutes) à l'occasion des élections communales.
Le 24 mars 2002, le FDF constitue le Mouvement réformateur avec le Parti réformateur libéral, le Mouvement des citoyens pour le changement et le Partei für Freiheit und Fortschritt (parti libéral germanophone)18.
Le 26 avril 2009, le président sortant Olivier Maingain a été réélu à la tête de son parti.
Dès novembre 2009, le FDF crée des représentations provinciales à dans les provinces de Liège, Namur, Hainaut et Luxembourg en plus de celle existant déjà en Brabant wallon. Des sections ont été créées à Hannut, Huy-Waremme, Liège, Ottignies, Ecaussinnes, Charleroi et Libramont-Chevigny.
La problématique de Bruxelles-Hal-Vilvorde (dont le résultat des négociations est attendu le 19 avril 2010) a remis les fédéralistes francophones sur le devant de la scène. Les Fédéralistes démocrates francophones s'opposent au confédéralisme de la N-VA, qu'ils voient comme l'antichambre du séparatisme19.Selon les professeurs de la KUL André Decoster et Stef Proost20, la régionalisation de l’impôt des personnes physiques, dans les cartons de l’ensemble des partis flamands, ne serait « économiquement pas efficace », car cela conduirait à une hausse globale de l’imposition et à des décisions inefficaces. En effet, l'existence d'une base taxable séparée pour la Région et le Fédéral implique des interactions verticales comme le fait que des décisions fédérales opérant sur cette base taxable peuvent avoir un impact sur les recettes régionales et inversement.
Le FDF défend l'idée d'un projet qui remet Bruxelles et la Wallonie aux places qu'elles occupaient avant, parmi les premières des régions européennes, et cela en changeant radicalement la gestion publique actuelle. Il préconise l'élargissement de Bruxelles et son pendant linguistique, l'extension de l'officialisation de la langue française dans les communes flamandes de la périphérie[réf. nécessaire],[précision nécessaire].
Protestant contre la non-nomination des quatre bourgmestres des communes à facilités de la périphérie bruxelloise, ayant enfreint selon le gouvernement flamand la loi électorale, ce qu'ils considèrent être un déni de démocratie, les Fédéralistes démocrates francophones interpellent l'Union européenne, le Conseil de l'Europe et le Conseil des droits de l'homme de l'ONU21.
Sortie du MR (depuis 2011)[modifier | modifier le code]En septembre 2011, le FDF décide de quitter la coalition MR à la suite de la décision du MR d'accepter une scission partielle de l'arrondissement électoral de Bruxelles-Hal-Vilvorde. Aux yeux du FDF, les compensations pour les francophones de Belgique sont insuffisantes22. Ainsi, le dimanche 25 septembre 2011 en soirée, les membres du FDF se sont réunis en Conseil général et ont voté à l'unanimité moins trois abstentions leur départ du Mouvement Réformateur23.
Depuis le départ du FDF du MR, le parti amarante est la cinquième force politique francophone en Belgique et le quatrième parti bruxellois, à égalité avec le CDH (onze députés chacun).
En septembre 2011, le parti faisait état de plus de 7 000 membres. Des fédérations provinciales ainsi que des sections locales et d'arrondissements couvrent l'ensemble de la Wallonie et de Bruxelles. À la suite de la rupture avec le MR, une importante augmentation des adhésions au sein du parti se déroula durant une quinzaine de jours, à raison de 50 à 60 demandes d'adhésion par jour, toujours selon le parti[citation nécessaire]. Olivier Maingain a précisé lors du Congrès du FDF du 9 octobre 2011 que des listes FDF seront présentes dans toutes les provinces de Wallonie ainsi que dans les villes et communes où le parti est bien implanté, comme à Charleroi, en vue des élections communales et provinciales de 2012. En outre, le président du parti a annoncé la tenue d'un congrès doctrinal le 15 janvier 2012, en vue de redéployer le parti et d'apporter la réponse du parti aux grands enjeux institutionnels, sociétaux et socio-économiques24 et de préparer la campagne pour les élections d'octobre 2012.
En mars 2015, Olivier Maingain est réélu à la présidence du FDF pour un septième mandat consécutif. Des présidences régionales sont également créées, avec l'élection de Caroline Persoons à la présidence bruxelloise, de Christian Van Eyken à la présidence de la périphérie et de Hugues Lannoy à la présidence wallonne25.
Changement de nom[modifier | modifier le code]Le parti par l'entremise de son président envisage le changement de nom du parti26. La consultation des militants en internes appuie cette décision. Un nouveau nom, DéFI (pour Démocrate fédéraliste indépendant), est officialisé le 13 novembre 2015[réf. nécessaire].
Idéologie et positionnement politique[modifier | modifier le code]Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?Le parti se définit comme libéral, progressiste et pro-européen27. Il a, à ses débuts, rassemblé des personnalités issues de différents courants politiques belges. Depuis quelques années, il a mis au centre de son programme la laïcité et le libéralisme-social27. Sur l'échiquier politique, il se veut plus humaniste28,29 et plus indépendant vis-à-vis du nationalisme flamand que le MR14,30, avec qui il formait un cartel jusqu'en 2012. Défi décrit ses idéaux et engagements fondamentaux dans sa Charte [archive]. DéFI se revendique du projet politique du président français Emmanuel Macron31.
Organisation[modifier | modifier le code]Présidence du parti[modifier | modifier le code]Liste des présidents du parti depuis sa création32.
Centre d'études Jacques Georgin[modifier | modifier le code]Le Centre d'études de DéFI est le Centre d'études Jacques Georgin, du nom d'un militant FDF tué par des extrémistes flamands du Vlaamse Militanten Orde le 12 septembre 1970.
Organisation de jeunesse[modifier | modifier le code]Article détaillé : DéFI Jeunes.Les Fédéralistes démocrates francophones ont créé en 1966 une organisation de jeunesse, les Jeunes FDF33. Le 4 décembre 2015, les Jeunes FDF, réunis en Assemblée générale, votent à l’unanimité pour le changement de nom de leur association. Jeunes FDF devient alors DéFI Jeunes. Ce changement répond à la volonté d’être partie prenante des évolutions du parti DéFI. Jérôme De Mot est confirmé comme président et devient donc le premier président de DéFI Jeunes. Deborah Lorenzino, conseillère communale à Schaerbeek lui succède le 23 septembre 201634 et ce, jusqu'au 9 novembre 2019. En novembre 2019, une nouvelle équipe est élue à la tête de DéFI jeunes. Antoine Couvreur en prend la tête comme Président35.
Membres[modifier | modifier le code]Voir la catégorie : Personnalité de DéFI.Personnalités politiques passées et présentes du FDF/DéFI[modifier | modifier le code]
Députés fédéraux[modifier | modifier le code]
Bourgmestres, échevins et présidents du CPAS
Communes disposant d'un bourgmestre DéFI :
Autres communes bénéficiant d'au moins un échevin (ou président du CPAS):
Députés régionaux[modifier | modifier le code]Articles détaillés : Parlement de la région de Bruxelles-Capitale, Parlement de la Communauté française de Belgique et Parlement flamand.Le parti DéFI dispose de 10 députés au Parlement de la région de Bruxelles-Capitale, de trois députés au Parlement de la Communauté française de Belgique
Depuis 2014, le parti DéFI est associé au gouvernement de la région de Bruxelles-Capitale faisant partie de la majorité PS-cdH-OpenVLD-sp.a-CD&V du Gouvernement Vervoort II avec Didier Gosuin comme ministre de l'Emploi et de l'Économie, et Cécile Jodogne comme secrétaire d'État au Commerce extérieur, de 2014 à 2019 Après les Élections régionales belges de 2019, DéFI reste dans la majorité, au sein du Gouvernement Vervoort III avec Bernard Clerfayt reprenant le poste de Didier Gosuin.
Objet de cusiosité ou de collection. Bel état. Histoire
Il fut créé le 11 mai 1964, en réaction à l'établissement des frontières linguistiques en Belgique en 1963, par André Lagasse, René Bourgeois, Paul Brien, Léon Defosset, Jean Hoffman, Marcel Hombert, Victor Laloux, Marcel Lengrand, Léopold Molle, Lucien Outers, Eugène Pauly, Marcel Thiry et Georges Avelange, treize personnes issues, d'une part, des différents mouvements wallons, d'autre part, du Rassemblement pour le Droit et la Liberté et du Bloc de la Liberté Linguistique 15. Le groupe de fondateurs qui s'élève contre la « tyrannie linguistique » se nomme originellement « Front démocratique des francophones de Bruxelles » puis en tant que parti Front démocratique des francophones16,17.
Association avec le RW (1964-1992)[modifier | modifier le code]Un logo du FDF.Pendant longtemps, le FDF collabore avec le Rassemblement wallon, un parti autonomiste wallon, avec lequel il forme un groupe parlementaire commun et présente des listes communes lors des élections européennes par exemple.
Plusieurs personnalités marquantes de la vie politique belge furent les fondateurs du FDF en 1964. Parmi ceux-ci, Paul Brien, André Lagasse, Lucien Outers ou Marcel Thiry ont contribué aux débats démocratiques fondateurs des grands changements institutionnels belges qui ont permis l'émancipation de Bruxelles et de la Wallonie comme régions à part entière au sein de la Belgique fédérale.
Dans la nuit du vendredi 11 septembre au samedi 12 septembre 1970, un militant FDF, Jacques Georgin, collait des affiches avec trois compagnons dans une artère de Laeken, lorsqu'il fut attaqué par une dizaine de militants du Vlaamse Militanten Orde. Il devait mourir quelques minutes plus tard, victime de la violence des coups reçus.
De 1977 à 1980 le FDF participe à deux gouvernements fédéraux dirigés par Leo Tindemans, puis Wilfried Martens.
Une personnalité remarquée du FDF fut Roger Nols, bourgmestre de Schaerbeek durant une vingtaine d’années, pendant lesquelles il a marqué la vie politique du pays, notamment au cours des années 1970, époque où il militait pour le FDF dans l’affaire des guichets de Schaerbeek[réf. souhaitée]. En 1982, les dérives politiques xénophobes de Roger Nols furent telles que Lucien Outers, alors président du FDF, dû constater qu'il ne pouvait plus appartenir à son parti.
Au sein de la famille libérale wallonne (1992-2011)[modifier | modifier le code]À la suite de l'introduction de nouvelles règles de financement public des partis politiques qui le font désormais dépendre de sa présence au Sénat, où il ne dispose que d'un seul siège et n'est pas sûr de le conserver, le FDF forme dès 1992 avec le Parti réformateur libéral une fédération, qui se traduit par des cartels électoraux à diverses élections régionales et législatives, ainsi que dans plusieurs communes (mais pas toutes) à l'occasion des élections communales.
Le 24 mars 2002, le FDF constitue le Mouvement réformateur avec le Parti réformateur libéral, le Mouvement des citoyens pour le changement et le Partei für Freiheit und Fortschritt (parti libéral germanophone)18.
Le 26 avril 2009, le président sortant Olivier Maingain a été réélu à la tête de son parti.
Dès novembre 2009, le FDF crée des représentations provinciales à dans les provinces de Liège, Namur, Hainaut et Luxembourg en plus de celle existant déjà en Brabant wallon. Des sections ont été créées à Hannut, Huy-Waremme, Liège, Ottignies, Ecaussinnes, Charleroi et Libramont-Chevigny.
La problématique de Bruxelles-Hal-Vilvorde (dont le résultat des négociations est attendu le 19 avril 2010) a remis les fédéralistes francophones sur le devant de la scène. Les Fédéralistes démocrates francophones s'opposent au confédéralisme de la N-VA, qu'ils voient comme l'antichambre du séparatisme19.Selon les professeurs de la KUL André Decoster et Stef Proost20, la régionalisation de l’impôt des personnes physiques, dans les cartons de l’ensemble des partis flamands, ne serait « économiquement pas efficace », car cela conduirait à une hausse globale de l’imposition et à des décisions inefficaces. En effet, l'existence d'une base taxable séparée pour la Région et le Fédéral implique des interactions verticales comme le fait que des décisions fédérales opérant sur cette base taxable peuvent avoir un impact sur les recettes régionales et inversement.
Le FDF défend l'idée d'un projet qui remet Bruxelles et la Wallonie aux places qu'elles occupaient avant, parmi les premières des régions européennes, et cela en changeant radicalement la gestion publique actuelle. Il préconise l'élargissement de Bruxelles et son pendant linguistique, l'extension de l'officialisation de la langue française dans les communes flamandes de la périphérie[réf. nécessaire],[précision nécessaire].
Protestant contre la non-nomination des quatre bourgmestres des communes à facilités de la périphérie bruxelloise, ayant enfreint selon le gouvernement flamand la loi électorale, ce qu'ils considèrent être un déni de démocratie, les Fédéralistes démocrates francophones interpellent l'Union européenne, le Conseil de l'Europe et le Conseil des droits de l'homme de l'ONU21.
Sortie du MR (depuis 2011)[modifier | modifier le code]En septembre 2011, le FDF décide de quitter la coalition MR à la suite de la décision du MR d'accepter une scission partielle de l'arrondissement électoral de Bruxelles-Hal-Vilvorde. Aux yeux du FDF, les compensations pour les francophones de Belgique sont insuffisantes22. Ainsi, le dimanche 25 septembre 2011 en soirée, les membres du FDF se sont réunis en Conseil général et ont voté à l'unanimité moins trois abstentions leur départ du Mouvement Réformateur23.
Depuis le départ du FDF du MR, le parti amarante est la cinquième force politique francophone en Belgique et le quatrième parti bruxellois, à égalité avec le CDH (onze députés chacun).
En septembre 2011, le parti faisait état de plus de 7 000 membres. Des fédérations provinciales ainsi que des sections locales et d'arrondissements couvrent l'ensemble de la Wallonie et de Bruxelles. À la suite de la rupture avec le MR, une importante augmentation des adhésions au sein du parti se déroula durant une quinzaine de jours, à raison de 50 à 60 demandes d'adhésion par jour, toujours selon le parti[citation nécessaire]. Olivier Maingain a précisé lors du Congrès du FDF du 9 octobre 2011 que des listes FDF seront présentes dans toutes les provinces de Wallonie ainsi que dans les villes et communes où le parti est bien implanté, comme à Charleroi, en vue des élections communales et provinciales de 2012. En outre, le président du parti a annoncé la tenue d'un congrès doctrinal le 15 janvier 2012, en vue de redéployer le parti et d'apporter la réponse du parti aux grands enjeux institutionnels, sociétaux et socio-économiques24 et de préparer la campagne pour les élections d'octobre 2012.
En mars 2015, Olivier Maingain est réélu à la présidence du FDF pour un septième mandat consécutif. Des présidences régionales sont également créées, avec l'élection de Caroline Persoons à la présidence bruxelloise, de Christian Van Eyken à la présidence de la périphérie et de Hugues Lannoy à la présidence wallonne25.
Changement de nom[modifier | modifier le code]Le parti par l'entremise de son président envisage le changement de nom du parti26. La consultation des militants en internes appuie cette décision. Un nouveau nom, DéFI (pour Démocrate fédéraliste indépendant), est officialisé le 13 novembre 2015[réf. nécessaire].
Idéologie et positionnement politique[modifier | modifier le code]Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?Le parti se définit comme libéral, progressiste et pro-européen27. Il a, à ses débuts, rassemblé des personnalités issues de différents courants politiques belges. Depuis quelques années, il a mis au centre de son programme la laïcité et le libéralisme-social27. Sur l'échiquier politique, il se veut plus humaniste28,29 et plus indépendant vis-à-vis du nationalisme flamand que le MR14,30, avec qui il formait un cartel jusqu'en 2012. Défi décrit ses idéaux et engagements fondamentaux dans sa Charte [archive]. DéFI se revendique du projet politique du président français Emmanuel Macron31.
Organisation[modifier | modifier le code]Présidence du parti[modifier | modifier le code]Liste des présidents du parti depuis sa création32.
- 1964-1967 Paul Brien
- 1967-1972 Albert Peeters
- 1972-1975 André Lagasse
- 1975-1977 Léon Defosset
- 1977-1982 Antoinette Spaak
- 1983-1984 Lucien Outers
- 1984-1995 Georges Clerfayt
- 1995-2019 : Olivier Maingain
- 2019-2024 : François De Smet
- 2024- : Sophie Rohonyi
Centre d'études Jacques Georgin[modifier | modifier le code]Le Centre d'études de DéFI est le Centre d'études Jacques Georgin, du nom d'un militant FDF tué par des extrémistes flamands du Vlaamse Militanten Orde le 12 septembre 1970.
Organisation de jeunesse[modifier | modifier le code]Article détaillé : DéFI Jeunes.Les Fédéralistes démocrates francophones ont créé en 1966 une organisation de jeunesse, les Jeunes FDF33. Le 4 décembre 2015, les Jeunes FDF, réunis en Assemblée générale, votent à l’unanimité pour le changement de nom de leur association. Jeunes FDF devient alors DéFI Jeunes. Ce changement répond à la volonté d’être partie prenante des évolutions du parti DéFI. Jérôme De Mot est confirmé comme président et devient donc le premier président de DéFI Jeunes. Deborah Lorenzino, conseillère communale à Schaerbeek lui succède le 23 septembre 201634 et ce, jusqu'au 9 novembre 2019. En novembre 2019, une nouvelle équipe est élue à la tête de DéFI jeunes. Antoine Couvreur en prend la tête comme Président35.
Membres[modifier | modifier le code]Voir la catégorie : Personnalité de DéFI.Personnalités politiques passées et présentes du FDF/DéFI[modifier | modifier le code]
- Véronique Caprasse
- Bernard Clerfayt, ministre bruxellois
- Georges Clerfayt, président du parti de 1984 à 1995
- Éric Libert
- Michel Colson, ancien secrétaire général du parti
- Léon Defosset, président du parti de 1975 à 1977
- Serge de Patoul
- Georges Désir
- Pascal Goergen, président wallon
- Didier Gosuin, ancien ministre bruxellois
- André Lagasse, président du parti de 1972 à 1975
- Olivier Maingain, président du parti de 1995 à 2019
- Damien Thiéry
- Arnold d'Oreye de Lantremange
- Cécile Jodogne, ancienne secrétaire d'État bruxelloise
- Gisèle Mandaila Malamba, ancienne secrétaire d'état de 2004 à 2007
- Roger Nols
- Lucien Outers
- Emmanuel De Bock, chef de groupe au Parlement bruxellois
- Caroline Persoons, présidente bruxelloise du parti
- François Persoons
- Basile Risopoulos
- François Roelants du Vivier
- Antoinette Spaak, présidente du parti de 1977 à 1982
- Paul-Henri Spaak
- Monique Felix, ancienne vice-présidente wallonne
- Jonathan Martin, ancien vice-président exécutif du parti, ancien secrétaire général adjoint
- François De Smet, député fédéral et président du parti
Députés fédéraux[modifier | modifier le code]
- Députés fédéraux :
- François De Smet
- Sophie Rohonyi
Bourgmestres, échevins et présidents du CPAS
Communes disposant d'un bourgmestre DéFI :
- Auderghem
- Didier Gosuin, bourgmestre en titre
- Alain Lefebvre
- Bruno Collard
- Jeannine Crucifix
- Sophie de Vos
- Christian Coppens
- Eloïse Defosset
- Florence Couldrey
- Jean-Claude Vitoux, président du CPAS
- Schaerbeek
- Bernard Clerfayt, bourgmestre empêché
- Cécile Jodogne, bourgmestre faisant fonction
- Frédéric Nimal
- Michel De Herde
- Mehmet Bilge, échevin faisant fonction
- Deborah Lorenzino
- Sophie Querton, présidente du CPAS
- Woluwe-Saint-Lambert
- Olivier Maingain, bourgmestre
- Eric Bott
- Isabelle Molenberg
- Philippe Jaquemyns
- Gregory Matgen
- Delphine De Valkeneer
- Fabienne Henry, présidente du CPAS
Autres communes bénéficiant d'au moins un échevin (ou président du CPAS):
- Kraainem
- Véronique Caprasse
- Anne-Charlotte Sala
- Françoise Devleeschouwer, président du CPAS
- Wezembeek-Oppem
- Béatrice Bernard
- Linkebeek
- Philippe Thiéry, président du CPAS
- Evere
- Pascal Freson
- Muriel Duquenois
- Woluwe-Saint-Pierre
- Carine Kolchory
- Ganshoren
- Gregory Rase
- Bruxelles-Ville
- Fabian Maingain
- Anderlecht
- Alain Kastemont
- Grez-Doiceau (Brabant wallon)
- Pascal Goergen
- Tubize (Brabant wallon)
- Mourad Abdelali
- Fleurus (Hainaut)
- Mikhaël Jacquemain
- José-Pierre Ninane, président du CPAS
- Seneffe (Hainaut)
- Nicolas Dujardin
- Libramont-Chevigny (Luxembourg)
- Jonathan Martin
- Floreffe (Namur)
- Olivier Trips, 1er échevin
- Cédric Duquet
Députés régionaux[modifier | modifier le code]Articles détaillés : Parlement de la région de Bruxelles-Capitale, Parlement de la Communauté française de Belgique et Parlement flamand.Le parti DéFI dispose de 10 députés au Parlement de la région de Bruxelles-Capitale, de trois députés au Parlement de la Communauté française de Belgique
- Nicole Nketo Bomele
- Sadik Koksal
- Marie Nagy, cheffe de groupe adjointe au Parlement francophone bruxellois - chargée des matières environnementales
- Emmanuel De Bock, chef de groupe au Parlement régional bruxellois
- Michaël Vossaert, chef de groupe au Parlement de la Communauté française et président de la Commission des Affaires économiques et de l'emploi du Parlement régional bruxellois
- Ariane de Lobkowicz-d'Ursel
- Marc Loewenstein
- Christophe Magdalijns
- Joëlle Maison, ancienne cheffe de groupe au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles
- Jonathan de Patoul Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale
Depuis 2014, le parti DéFI est associé au gouvernement de la région de Bruxelles-Capitale faisant partie de la majorité PS-cdH-OpenVLD-sp.a-CD&V du Gouvernement Vervoort II avec Didier Gosuin comme ministre de l'Emploi et de l'Économie, et Cécile Jodogne comme secrétaire d'État au Commerce extérieur, de 2014 à 2019 Après les Élections régionales belges de 2019, DéFI reste dans la majorité, au sein du Gouvernement Vervoort III avec Bernard Clerfayt reprenant le poste de Didier Gosuin.
Numéro de l'annonce: m2156494428
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