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Un accueil chaleureux de
Florence Schmit

Bienvenue dans le tout nouveau rapport d'impact circulaire de 2ememain : L'effet 2ememain ! Ce rapport montre l'ampleur de l'impact des choix de nos utilisateurs en 2023. Alors que le shopping d'occasion devient de plus en plus important dans nos vies, nous avons collaboré avec une organisation indépendante pour calculer l'impact réel de l'échange de biens usagés sur notre plateforme. Les résultats sont non seulement passionnants, mais aussi inspirants : chaque fois que vous optez pour d'occasion sur 2ememain, vous réduisez potentiellement les émissions et économisez des ressources précieuses. Ce rapport ne concerne donc pas seulement des chiffres, mais la différence tangible que vous faites pour notre planète.

Nous souhaitons continuer à vous inspirer avec des insights qui mettent en avant les avantages écologiques de vos choix. En participant à l'économie circulaire via 2ememain, vous contribuez directement à un avenir avec moins d'émissions de CO2 et favorisez le réemploi. Au fur et à mesure que nous avançons, ces conclusions continueront à façonner nos stratégies. Ainsi, nous innovons votre expérience d'achat d'occasion et favorisons la durabilité. Ensemble, nous n'échangeons donc pas seulement des biens, mais travaillons à un avenir meilleur et plus vert. Merci de vous engager dans ce voyage avec nous et de contribuer à un changement significatif !

Florence Schmit
Directrice Générale Adevinta Benelux

Le parcours de
2ememain

C'est indéniable : Depuis sa création en 2001, 2ememain est la plus grande plateforme de commerce en ligne pour les biens de consommation d'occasion en Belgique. Avec un nombre impressionnant de 3 millions de visiteurs uniques par mois et environ 85 000 nouvelles annonces ajoutées chaque jour, nous mettons en relation des milliers d'acheteurs et de vendeurs.

Nous sommes convaincus que chaque action sur notre plateforme fait une différence. Que vous soyez novice dans la vente ou que vous offriez une nouvelle vie à vos objets depuis des années, à nos yeux, vous changez le monde. En achetant ou en vendant, non seulement vous vous rendez service à vous-même, mais vous apportez aussi de la joie à quelqu'un d'autre. Ensemble, nous contribuons à réduire les déchets et à rendre le monde un peu meilleur.

0 nouvelles annonces par jour
En plus de soutenir « ceux qui changent le monde », nous nous engageons également à promouvoir des changements systémiques de la manière suivante :

Une politique qui encourage l'économie circulaire

À différentes occasions, notamment dans ce rapport, nous demandons une action gouvernementale proactive pour encourager l'économie circulaire. Par exemple, investir dans des campagnes de sensibilisation et demander aux décideurs politiques d'examiner dès le début l'impact potentiel de la législation sur le secteur de l'occasion ainsi que d'étudier une réduction du taux de TVA sur les produits reconditionnés et de seconde main.

Éducation

Nous avons entamé une collaboration avec Race against Waste. Cette organisation sensibilise les élèves des écoles primaires aux déchets textiles et électroniques et les encourage de manière ludique à réduire leurs déchets. Les élèves apprennent l'impact de la réutilisation et offrent même des articles gratuitement sur 2ememain pour en connaître les effets positifs. Ces activités se dérouleront dès le début de l'année 2025 dans plusieurs villes flamandes.

Sommet sur la réutilisation

En octobre 2024, nous avons organisé la première édition du Reuse Summit. Lors de cet événement, la transition vers une économie circulaire a été expliquée, en mettant l'accent sur la manière d'impliquer les consommateurs dans ce changement, l'importance du changement de comportement et les étapes pratiques pour y parvenir. Des experts, dont Brigitte Mouligneau de Vlaanderen Circulair et le professeur Dirk van Rooy de l'Université d'Anvers, ont partagé leurs précieuses idées.

La percée du marché
de l'occasion en Belgique

L'économie circulaire consiste à réutiliser et à reconditionner les produits, plutôt que d'en créer constamment de nouveaux. En facilitant l'achat et la vente d'articles d'occasion sur des plateformes telles que 2ememain, nous pouvons prolonger la durée de vie des biens et réduire la demande de matières premières et de fabrication. Ce passage à un modèle plus durable change la donne puisque cela nous permet de tirer un meilleur parti des produits que nous possédons déjà, au lieu de devoir constamment en produire des neufs. C'est en corrélation directe avec les objectifs décrits dans le plan d'action pour l'économie circulaire du gouvernement fédéral belge et de l'Union européenne.

Parce que la réutilisation des biens prend de plus en plus d'importance, nous faisons régulièrement réaliser des études et des enquêtes approfondies. D'après une enquête de 2024, il apparaît que l'année dernière, 43,9 % des Belges ont vendu des biens d'occasion, ce qui a rapporté en moyenne 132,2 €. Les principales motivations pour vendre ne sont pas seulement des avantages financiers (64,5 %), mais aussi des considérations environnementales (33,6 %) et le désir de posséder moins de choses inutiles (33,8 %)*.

Saviez-vous que…

de plus en plus de Belges ont une opinion positive sur l'achat de biens d'occasion ? En effet, ce pourcentage est passé de 64,4 en 2023 % à 74,3 % en 2024. Nous appelons donc les décideurs à encourager davantage la réutilisation en adoptant des mesures appropriées, afin que le secteur de l'occasion puisse apporter une contribution encore plus grande à une économie durable et circulaire.

Faits amusants

Nous collaborons également avec des organisations gouvernementales pour partager nos données anonymes et observations, ce qui permet à chacun de se faire une idée plus claire de l'économie circulaire en Belgique. Un bel exemple est le partage de nos données annuelles sur la réutilisation avec OVAM. Cela peut mener à la création d'une politique circulaire intelligente pour stimuler la circularité à long terme.

* Pour plus de ressources au sujet de ce chapitre, consultez l’annexe.
0 pourcentage de Belges positifs à l'égard des achats d'occasion

L'impact environnemental
du commerce d'occasion

Le commerce de seconde main et la réutilisation peuvent réduire l'impact sur l'environnement, principalement en évitant les potentielles émissions et en préservant les ressources naturelles. Qu'est-ce que cela signifie ?

Il est question ici des émissions qui auraient pu être évitées : les émissions potentiellement évitées. Pour les calculer, nous comparons deux scénarios. D'une part, nous examinons le scénario réel : l'achat d'un produit d'occasion sur 2ememain. D'autre part, nous imaginons un scénario hypothétique : acheter le même produit, mais à l'état neuf. La différence d'émissions entre ces deux scénarios est appelée « émissions évitées ». Nous tenons également compte de la mesure dans laquelle chaque achat d'occasion remplace effectivement l'achat d'un produit neuf. La fréquence à laquelle cela se produit est appelée le taux de remplacement (voir « Taux de remplacement » plus loin dans ce rapport).

C’est donc très simple : nous évitons des émissions potentielles parce que moins de nouveaux produits doivent être fabriqués . Imaginez-vous toutes les ressources nécessaires pour extraire les matières premières, alimenter le processus de production et transporter le produit final jusqu'au magasin ? Nous pouvons éliminer ces étapes en optant pour des articles d'occasion. De plus, nous évitons ainsi que ces articles ne soient jetés avant d'avoir atteint la fin de leur cycle de vie, ce qui constitue un avantage supplémentaire pour l'environnement.

Mesurer notre contribution
à l'économie circulaire

Vous comprenez maintenant ce que nous entendons par « émissions potentielles évitées ». Mais comment calculons-nous la quantité d'émissions potentiellement évitées grâce au commerce d'occasion sur 2ememain ? Entrons dans les détails, afin que vous puissiez découvrir comment nous procédons à ce calcul. (pour les calculs détaillés, voir l’annexe).

La méthodologie


Nous avons fait appel au bureau d'étude Vayuu pour utiliser ses méthodes basées sur l'analyse du cycle de vie (ACV)*. Cela signifie que nous ne nous limitons pas aux ventes de produits individuels. Nous examinons la situation de manière plus vaste et l'impact sur le système de manière plus large. Cette méthode suit de près les directives du World Resource Institute pour comparer les émissions des produits.

La méthodologie et le système de recherche de Vayuu calculent les émissions potentiellement évitées grâce à l'achat d'articles d'occasion sur notre propre plateforme. Cette approche offre transparence et précision et s'aligne étroitement sur des cadres académiques clés pour le calcul des émissions évitées, comme le rapport Guidance on Avoided Emissions du World Business Council for Sustainable Development et le Framework for Estimating and Reporting Avoided Emissions du World Resources Institute.

Nous prenons ce sujet très au sérieux et nous efforçons d'en mesurer l'impact avec précision. Cela nous permet de montrer à quel point l'impact environnemental du commerce d'occasion peut être positif. Comme nous le disons toujours, chaque transaction fait une grande différence !

*Validé par TüV Rheinland

Plus de détails
sur l'enquête


Très bien, c'est parti ! Dans cette section, vous découvrirez comment Vayuu a démarré l'analyse de nos données. Notre analyse s'est basée sur les données plus de 1,9 million d'articles vendus via 2ememain dans des catégories de produits spécifiques (voir l'annexe), complétées par les commentaires de plus de 49 500 utilisateurs européens de plateformes de commerce d'occasion concernant leur comportement d'achat et de vente.

Une analyse de produit de plus de 1,9 million d'articles

Pour calculer les émissions nettes évitées, Vaayu a analysé plus de 1,9 million de transactions de seconde main réussies dans toutes les catégories de produits pertinentes. Les informations ont été traitées avec Kria, le moteur de modélisation d'impact ACV et la base de données propres à Vaayu.

Les émissions évitées sont mesurées en équivalents CO2 (CO2eq). Si l'actualité se concentre souvent sur le CO2, il est important de noter que les processus d'exploitation minière, de récolte et de production produisent différents types d'émissions de gaz à effet de serre (GES). Pour simplifier les choses, nous regroupons toutes ces émissions de gaz à effet de serre en tant qu'équivalents CO2.

Nous achetons généralement des articles de seconde main peu utilisés

Mais à quelle fréquence remplaçons-nous réellement ces articles ? Pour le découvrir, des enquêtes ont été menées auprès des acheteurs et des vendeurs. Cela a permis d'estimer le pourcentage de remplacement (voir annexe), de mesurer le taux de remplacement et de préciser dans quelle mesure les articles d'occasion peuvent remplacer les articles neufs. Ces enquêtes ont également permis d'obtenir des détails sur la logistique de livraison, notamment sur les types d'emballages et de matériaux utilisés et sur les livraisons elles-mêmes.

Nous sommes vraiment curieux de voir si les résultats de cette enquête vous parlent. La grande majorité (96 %) des acheteurs sur 2ememain acquièrent en effet des produits presque neufs ou légèrement usagés. Il semble donc que 2ememain soit une mine d'or pour trouver des articles d'occasion de qualité ! Les vendeurs le confirment également, puisque 97 % d'entre eux indiquent que les articles qu'ils proposent sont effectivement en bon état.

Émissions issues des activités de 2ememain

Bien entendu, nous avons également examiné les émissions générées par nos activités 2ememain afin de tenir compte des émissions potentielles économisées grâce au commerce d'occasion sur notre plateforme. Cela inclut :

  • Champ d'application 1 des émissions : les émissions des véhicules loués que nous utilisons à des fins professionnelles.

  • Champ d'application 2 des émissions : les émissions provenant de l'énergie consommée dans nos bureaux et centres de données.

  • Champ d'application 3 des émissions : les émissions provenant des articles que nous utilisons au quotidien, comme les dosettes de café, les déplacements des employés et l'énergie que nos utilisateurs consomment lorsqu'ils accèdent à notre plateforme via leurs appareils personnels..

Nous avons ainsi obtenu notre empreinte carbone pour 2023, qui est détaillée dans le rapport global Adevinta en annexe. Cette empreinte a ensuite été déduite des émissions potentielles d'équivalents CO2 économisées grâce au commerce sur notre plateforme.

Maintenant que l'enquête n'a plus aucun secret, il est temps de passer aux résultats !

L'effet 2ememain
en 2023

En 2023, nos utilisateurs ont vendu plus de 1,9 million d'articles d'occasion via notre plateforme. Ces articles allaient des vêtements pour bébé aux meubles en passant par les équipements de sport et les articles de jardinage. En donnant une deuxième, troisième, voire même quatrième vie à ces objets, nos utilisateurs ont potentiellement évité l'émission de 45 575 tonnes de CO2eq.

C'est un impact vraiment remarquable !
0 tonnes de CO2eq évitées
Pour nous donner une idée, les émissions évitées sont égales à : 0 vols aller-retour de Bruxelles à New York
Cela correspond à la consommation d'énergie de 0 ménages belges
Les émissions évitées font référence à la réduction potentielle de CO2eq qui a été réalisée parce que nos utilisateurs ont opté pour des articles de seconde main au lieu d'acheter des articles neufs dans les catégories étudiées. Il est important de noter que le chiffre ci-dessus ne tient pas compte des voitures vendues sur notre plateforme. Pourquoi ? Parce que ces véhicules produisent leurs propres émissions lors de leur utilisation et qu'ils sont plus susceptibles d'avoir une seconde vie en raison de leur valeur économique.

Les calculs détaillés ayant mené au total des émissions nettes potentiellement évitées se trouvent en annexe, mais les trois principaux éléments de ce calcul sont les suivants :
* Le scénario alternatif fait référence aux émissions liées à la production et à la distribution d'un nouvel article similaire, que les achats d'occasion sur d'autres plateformes d’Adevinta peuvent, dans une grande mesure, « éviter » (taux de remplacement). Le scénario alternatif inclut ici le taux de remplacement dans la valeur d'émission.

Examinons de plus près
le taux de remplacement


Le taux de remplacement, qui s'appuie sur le comportement des utilisateurs, indique dans quelle mesure les articles d'occasion peuvent effectivement remplacer les nouveaux achats. Mais il n'est pas facile de calculer un remplacement parfaitement égal. Pour tenir compte de cette difficulté, le taux de remplacement est :

  • Crucial pour évaluer les avantages environnementaux de la réutilisation ;
  • Un facteur influent dans le calcul de la mesure dans laquelle les émissions de CO2eq liées à la production et à la distribution de nouveaux produits similaires sont « compensées » par des achats en seconde main.

Comment est calculé le taux de remplacement ?

Dans notre analyse, les utilisateurs ont été interrogés sur leur pourcentage d'achats évités dans les catégories de produits indiquées. Le taux de remplacement a été calculé à partir des réponses de près de 32 000 acheteurs sur tous les marchés d'Adevinta. Pour 2ememain, nous avons utilisé une moyenne européenne en réaction à la question de l'enquête :
Les résultats, basés sur la moyenne européenne, sont très intéressants. En moyenne, près de 40 % des acheteurs indiquent qu'ils n'achèteront pas un produit neuf s'ils trouvent un article d'occasion similaire sur une des plateformes d’Adevinta. Cela suggère que les achats d'occasion sur une de nos plateformes remplacent l'achat d'articles neufs dans près de 40 % des cas ! Dans ce rapport, nous n'avons pris en compte que ces 40 %. Nous savons que les 60 % restants sont également liés à l'achat d'articles d'occasion, mais nous avons besoin d'un meilleur aperçu pour comprendre ce comportement de consommation avant de pouvoir nous prononcer sur l'impact de ce groupe.
0 d'achats d'occasion remplace un produit neuf

Découvrez nos catégories
phares en matière
de réutilisation


Chez 2ememain, vous trouverez à peu près tout ce que vous désirez. Cependant, tous les articles n'ont pas le même potentiel de réduction d'impact sur l'environnement. En 2023, les catégories présentant le plus grand potentiel d'émissions évitées sont les Vélos (15 703 tonnes CO2eq), Electroménager (10 627 tonnes CO2eq) et Maison & Meubles (7 954 tonnes CO2eq). Ainsi, que vous achetiez un vélo, un canapé ou un four d'occasion, vous contribuez à réduire les émissions en donnant une nouvelle vie à ces articles

Examinons de plus près d'autres catégories notables :

Il semble que les Belges aient pris le temps d'agrandir leur famille l'année dernière,
  • avec plus de 272 000 articles vendus dans la catégorie « Enfants & Bébés.

  • Cela représente 2 102 tonnes d'émissions de CO2eq potentiellement évitées !

Les Belges aiment profiter du soleil (et parfois de la pluie).
  • Plus de 140 000 articles ont été vendus dans la catégorie « Jardin & Terrasse ».

  • Chers amateurs de soleil, avec vos chaises de jardin et vos pots de fleurs, vous avez contribué à éviter 1 400 tonnes d'émissions de CO2eq.
Et n'oublions pas nos amateurs de technologie :
  • avec près de 64 000 appareils électroniques vendus,

  • les techies belges ont potentiellement évité plus de 3 000 tonnes d'émissions de CO2eq. Une manière de rester connecté tout en restant écologique !

Annexe

Pour une référence détaillée des sources et les méthodologies utilisées dans cette analyse, veuillez consulter l'annexe ici.
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Marktplaats. Elke deal een groot verschil.

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